Version française – SIRÈNES – Marco Valdo M.I. – 2012
Chanson italienne – Sirene - Banco Del Mutuo
Soccorso – 1994
Paroles de Francesco Di Giacomo
Musique de Vittorio Nocenzi
Sirènes, Sirènes, Sirènes, si, si, Sirènes
Quelles longues queues, quels corps luisants
Quels pièges étranges, quels récits indécents.
Sirènes.
Il ne suffit pas de dire basta, ça ne suffit plus
Il faut avoir le coeur imperméable.
Faire attention sur cette mer.
Il faut rester secs, à sangloter.
De quel côté es-tu ? Qui le sait !
Et que fais-tu, pour survivre ?
Et moi contre toi et toi contre lui
Et lui contre nous et alors tous contre, tous contre.
Sirènes, Sirènes, Sirènes, si, si, Sirènes
Quelles longues queues, quels corps luisants
Quels pièges étranges, quels récits indécents.
Sirènes.
Nous sommes d'une race bonne et bénie
Nous avons bras et tête qui vont vite.
Avanti popolo, alla ricotta!
Notre drapeau est une miche, une miche !
Le Père Blanc dit "Qui s'en fout,
Des contraceptifs et des viols, suffit de prier !
Enfants de Calcutta ou du Quart Monde,
Si vous avez de la chance, vous arriverez au bout, au bout"
Sirènes, Sirènes, Sirènes, si, si, Sirènes
Quelles longues queues, quels corps luisants
Quels pièges étranges, quels récits indécents.
Sirènes.
Nous sommes dehors, nous sommes innocents...
tout de même, aux yeux ouverts, je ne sais pas si on m'absout
Sirènes, Sirènes, toujours Sirènes
Quelles longues queues, quels corps luisants
Sacs de sable, récits indécents.
Nous sommes dehors, nous sommes innocents
Sirènes, Sirènes, toujours Sirènes
Notre coeur vous attend, prêt avec ses dents.